Le combat pour la légalité à la cour constitutionnelle, braque de nouveau les projecteurs de l’opinion sur cette institution.
Il vous souviendra qu’il y a quelques, le greffier en chef de cette institution respectable, a écrit une lettre, publiée dans les médias locaux et commentée par les soutiens du président Kelefa Sall dont le poste est sérieusement menacé.
Le vice-président de cette cour, qui a été investi par ses pairs au poste de président par intérim, lui aussi à son tour, tente de prouver le contraire des arguments développés par le greffier.
Mohamed Lamine Bangoura l’a fait dans un courrier on ne peut plus clair, se fondant sur des dispositions des lois qui gouvernent la vie de l’institution.
Lisez!
Lamine Mognouma CISSE