Lors de son assemblée générale hebdomadaire ce samedi 20 octobre 2018, le parti au pouvoir s’est exprimé sur la grève qui secoue le secteur éducatif.
Selon les responsables de ce parti, le salaire de base de huit millions réclamé par le syndicat n’est pas une chose réalisable.
» Ce n’est pas possible. Une telle dépense financière doit tenir compte, si vraiment ils sont intellectuels, des réalités du moment… C’est un comportement de déstabilisation l’État. Nous avons franchi le cap du syndicalisme, qu’ils nous disent s’ils sont politiciens>>, s’insurge Mohamed Lamine Kamissoko.
Lors de cette assemblée, des appels ont été lancés à l’endroit des parents d’élèves leur demandant de laisser les enfants aller à l’école.