Depuis la fin de la dernière session des lois, des voix s’élèvent pour dénoncer la fin de mandat des députés qui n’ont donc plus au regard de ces personnes, la légitimité de siéger à l’assemblée nationale.
Par la même occasion, de nouvelles élections sont vivement réclamées dans le but de pallier cette crise institutionnelle qui est donc née à cet effet.
C’est donc une situation qui donne de gros espoirs aux citoyens qui ont dans leur ligne de mire en justice, des députés.
Des citoyens qui se mettent à espérer voir désormais leurs actions en justice, qui se buttaient jusque-là à l’obstacle rédhibitoire de l’humanité parlementaire de ces députés, prendre de l’élan.
C’est le cas notamment de dame Domani Doré, de l’ancien ministre Damantan Albert Camara et de Cherif de Wanshington, qui ont tous des plaintes en hibernation, à la justice contre l’honorable Ousmane Gaoual pour des faits similaires, des accusations de diffamation par voie de presse .
Le très bouillant responsable de la communication de l’UFDG, pourrait donc payer cher pour ses différentes sorties au cours desquelles, il a été accusé, par des propos jugés acerbes et excessifs, d’avoir porté atteinte à l’honorabilité des personnes citées.
L’un des plaignants joint par notre rédaction, assure que la démarche qu’il a entamée, n’a rien de politique. Qu’il s’agit, précise-t-il, pour un citoyen de restaurer son image souillée par un autre citoyen.
Dans tous les cas, le député de Gaoual, pourrait être confronté à un cycle de procès, à moins que le social n’intervienne ou qu’on cède pour des raisons politiques, sous la pression du parti dont il porte la voix.
Mohamed