Depuis ce dimanche soir, le gouvernement a renoué le fil des négociations avec le Syndicat Libre des Enseignants Cheurcheurs de Guinée (SLECG) et des accords sont en vue, afin de résoudre la crise au sein de l’éducation guinéenne.
Les forces sociales de Guinée, qui, d’ailleurs, accompagnent le SLECG dans sa lutte, parlent déjà d’un ouf de soulagement même si tout n’est pas rose.
« C’est un début de solution. Si celui qui vous avait refusé hier, vous a menacé de radiation, accepte de vous recevoir, de vous écouter et discuter avec vous, c’est qu’il y a un ouf de soulagement. Il y a un début de victoire pour les enseignants de Guinée et la pression aussi a porté fruit », a déclaré Ibrahima Diallo, membre des forces sociales.
Toutefois, ils ont conseillé au SLECG de ne pas signer un accord avec le gouvernement sans faire de proposition à la base.
Aissata Barry