Depuis la prorogation du mandat des députés, suite à un décret pris par le Chef de l’Etat, le 12 janvier dernier, les partis politiques de l’opposition présents à l’Assemblée nationale, hésitent à se décider si leurs représentants vont siéger ou pas à l’hémicycle.
C’est le cas de l’UFR notamment dont les responsables politiques continuent à entretenir le flou autour de la question, en rabattant désormais, la responsabilité de la décision sur les structures du parti.
« Nos structures sont en train de se concerter, elles n’ont pas encore achevé la concertation pour dire si oui ou non, nous devons siéger à l’Assemblée nationale. La concertation continue », a confié, samedi, sans plus de détails, l’honorable Ibrahima Bangoura.
Reste donc à savoir jusqu’à quand ces structures vont se concerter pour savoir si, oui ou non le parti de l’ancien haut représentant du chef de l’État, siègera ou pas à l’Assemblée nationale.
Alhassane Fofana