Le vendredi 16 août, contre toute attente, la commission d’éthique de la Féguifoot, a tranché dans le dossier d’une prétendue affaire de corruption au sein de l’équipe nationale guinéenne.
Pour rappel, l’ancien vice président de la même institution, accusé de racket par l’ancien sélectionneur du Syli de guinée, a été suspendu de toutes activités liées au football pendant 7 ans dont deux ans avec sursis.
Paradoxalement, depuis l’annonce de cette décision de suspension, l’intéressé attend toujours qu’elle lui soit notifiée formellement notifiée.
Une situation qui laisse pantoise une bonne partie de l’opinion, à cause de la procédure qui a été celle utilisée par la commission d’éthique de la fédé. Une procédure qu’une frange de cette opinion juge trop questionnable, voire bancale.
« Je confirme que notre client Amadou Diaby, n’a jusque-là pas encore reçu la notification de la sanction le visant. Ce qui est tout de même paradoxale », a réagi l’un des avocats du 1er vice président de la fédération guinéenne de football.
Mohamed