C’est en des termes particulièrement durs, sans aucun filtre diplomatique, que la RADDHO (rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme), dont le siège est à Dakar, a choisi de s’inviter dans le débat politique en cours en Guinée, relativement à l’établissement éventuel d’une nouvelle constitution, tel que cela est le voeu du camp du pouvoir en place.
Préoccupée par les tensions qui entourent ce débat, la RADDHO, demande ni plus ni moins, à Alpha Condé, de rénoncer à toute initiative allant dans le sens de toucher à l’actuelle constitution, par amendement ou par remplacement.
Par ailleurs, la RADDHO, exige la libération sans délai, des personnalités de la société civile et d’autres leaders politiques, arrêtés depuis le samedi dernier, à Conakry.
Ci-dessous, copie du communiqué pris par l’organisation, à cet effet :
[pdf-embedder url= »http://mosaiqueguinee.com/wp-content/uploads/2019/10/Communiqué-RADDHO.pdf » title= »Communiqué RADDHO »]