Apres avoir pris un gros bide sur le terrain des réclamations, qui en réalité, de l’analyse des observateurs, ne tenaient pas à grand-chose et ouvraient les brèches à moult spéculations, les revendeurs et leurs soutiens non déclarés, tentent de récidiver. Mais, sur une autre piste où ils pourraient difficilement échapper au même sort.
A travers les médias, ils réclament indument, si on fait référence au contrat qu’ils ont eux-mêmes signés, qu’ils soient traités comme des employés de l’entreprise.
Autrement dit, qu’il leur soit appliqué les principes du contrat de travail. Par conséquent, ils réclament à cet effet, à la LONAGUI, des primes, des salaires, et autres indemnités qui ne sont en réalité payés qu’aux personnels.
Patatras ! Car, le préambule du contrat qu’ils ont signés, dont nous disposons une copie, stipule clairement, et sans ambiguïté ce qui suit : « les parties au présent contrat, reconnaissent, qu’elles n’ont pas conclu un contrat de travail, mais plutôt un contrat de prestation de service dont la rémunération (pourcentage) est assise sur la recette effectuée par le prestataire », peut-on y lire.
L’article 5, est tout aussi explicite : « … il est important que le revendeur n’étant pas un salarié de la société, il ne peut en aucun cas se prévaloir des dispositions du code du travail ».
Par ailleurs, dans le même contrat, en son article 2, alinéa 2 également, le prestataire, s’il n’est pas satisfait, peut unilatéralement rompre son bail avec l’entreprise.
Ledit prestataire, devrait le faire savoir dans une lettre avec une demande d’avis de réception, à tout moment, avec un préavis de 20 jours.
« Heureusement que c’est une poignée de revendeurs qui se montrent menaçants dans les medias, sinon la grande majorité continue de travailler avec nous, et de bien travailler, d’ailleurs », a témoigné un responsable de direction.
Mamoudou