La décision a été prise le 31 décembre dernier, plusieurs responsables du bureau UFDG d’Angola, ont décidé de claquer la porte du parti dirigé par El Hadj Cellou Dalein Diallo.
Depuis, c’est silence radio au sein de la principale force politique de l’opposition guinéenne.
Joint à ce propos, après moult tentatives, Aliou Condé l’un des vice-présidents du parti, s’est borné à déclarer qu’il ne commente pas une telle décision.
« Pour moi, ce n’est pas une information ; donc, je ne souhaite pas en parler », a-t-il lancé.
De toute évidence, cette vague de démissions de responsables du parti, dans un pays où l’UFDG semblait être bien enracinée, est une actualité qui paraît bien gênante pour l’état-major de ce parti.
Kouboura Baldé