Notre pays traverse une période assez sensible ou la prise de parole publique devrait être encadrée par un minimum d’éthique et de morale.
Malheureusement, certains individus ont décidé de descendre dans les caniveaux pour prendre part au débat public en se livrant au mensonge éhonté, à la calomnie et au dénigrement.
Il est donc important que de temps en temps, des leaders politiques connus pour leur sincérité pour leur sens de dignité et d’honneur, mais aussi pour leur franc parler prennent la responsabilité sur eux de rejoindre ces renégats dans leur trou pour qu’ils sachent qu’ils n’y sont pas seuls.
Que Dansa et ses serviles du CNOSCG décident de s’attaquer à Monsieur Étienne Soropogui, Président de Nos Valeurs Communes, est une aberration mentale que nous ne saurons laisser passer sous silence.
En réalité, de quoi s’agit il :
Monsieur Soropogui a souhaité ramener Dansa à ses propres turpitudes.
Une personne qui refuse de s’assumer, d’assumer ses opinions, d’assumer son passé et ce qu’il est en réalité..
Il n’a jamais dit aux guinéens qu’il a été membre des bureaux politiques de L’UPG du doyen Jean Marie Doré et des NFD de Mouctar Diallo. Pour quelqu’un d’aussi versatile et qui prend un malin plaisir à s’attaquer aux hommes politiques avec autant de virulence c’est quand même curieux. Il a quitté le parti NFD parce qu’il était fâché de n’avoir pas obtenu la seule place qui revenait au parti au sein du gouvernement de transition. Après un bref séjour au RPG où il prenait part aux réunions nocturnes c’est donc une personne frustrée et traînant assez de déboires en milieu politique, qui se retrouve parachuter comme par effraction au sein de la société civile sans en porter ni les valeurs ni la véritable conviction. Le reproche que Mr Soropogui fait à Dansa et son organisation est d’entretenir une relation quasi incestueuse avec les autorités politiques de notre pays en servant de caution pour torpiller les intérêts supérieurs du citoyen guinéens et cela au détriment de la mission et du rôle dévolus à la société civile.
Justement revenons-en
Qu’aurait dû être le rôle la mission et la cible d’une société civile dans un environnement démocratique?
Véritable sentinelle de la gestion politique sociale et économique, la société civile doit se positionner comme un contre pouvoir à même de jouer le rôle de veille et d’alerte en faveur d’une gouvernance vertueuse et respectueuse des sacro-saints principes contenus dans notre pacte Républicain. Une société civile qui se respecte doit être à l’avant garde de la lutte contre la confiscation et la personnalisation du pouvoir en ayant une position de fermeté dénuée de toute complaisance au lieu de se complaire à entretenir des positions ambiguës qui trahissent les assises fondamentales de notre république.
Malheureusement l’image que le guinéen retient de vous c’est un groupe d’imposteurs déguisé en activistes de la société civile dont le seul objectif est d’escroquer les institutions nationales et internationales pour assouvir vos intérêts bassement matériel cette image vous collera à la peau jusqu’à la fin de vos jours .
Yaya Diallo
Directeur de la communication de vos valeurs communes