En Guinée, les arriérés de primes d’incitation des mois d’octobre, novembre et décembre dernier restent toujours impayées aux enseignants émargeant à la fonction publique.
Pour le secrétaire général du SLECG, la fonction publique et le ministère de l’éducation nationale, en charge de régulariser ledit dossier, doivent impérativement prendre leurs dispositions, afin que les trois (3) mois d’arriérés soient payés très rapidement prévient Aboubacar Soumah.
«…les enseignants se plaignent et ils nous appellent de partout à travers le pays » rappelle le bouillant général Soumah.
Selon cet enseignants, les structures syndicales de l’éducation useront de tous les moyens légaux pour que les trois mois soient payés.
« Il faut qu’on les paie parce que c’est un dû malgré le fait qu’on sait dans quelles circonstances ces primes ont été obtenues, mais puisque c’est un dû qui revient aux travailleurs, il faudrait qu’elles soient payées (…). Il faudrait que ces trois (3) mois soient payés. Tant que ce n’est pas payé, on ne laissera pas tomber », a-t-il prévenu.
Alhassane Fofana