Pour le vice-président en charge des affaires économiques de l’UFDG, en plus des leaders politiques, si la presse est réprimée, c’est une sérieuse préoccupation pour ce pays.
« Je suis désolé pour eux, je pense que la liberté de la presse est consacrée dans tous les pays démocrates. Je demande leur libération. Je ne souhaite pas qu’un journaliste soit interpellé pour avoir exprimé ses opinions. Exprimé son opinion fait partie de son métier. Si les politiques sont réprimés, la presse est réprimée, c’est une sérieuse préoccupation pour ce pays. On ne peut rien faire aujourd’hui contre la presse », a-t-il lancé, au cours d’un entretien avec mosaiqueguinee.com.
Partis du port autonome de Conakry, les marcheurs ont été stoppés par les forces de sécurité massivement mobilisées, quelques minutes plus tard. Ils ont été aspergés de gaz lacrymogènes.
Saidou Barry