A travers un communiqué publié le mardi 27 septembre 2022, le gouvernement américain a salué les sanctions que la CEDEAO a infligé à la junte militaire guinéenne.
Pour les États-Unis cette décision de la CEDEAO vise à défendre la démocratie dans le pays.
Une décision que Keamo Bogolan Haba président du Front pour la défense de la constitution trouve tout à fait logique.
« C’est une position de principe. Elle est conforme à la position de principe de l’ONU en vertu du principe de la subsidiarité qui demande que la CEDEAO soit diplomatiquement le point d’entrée de la communauté Internationale. La position réelle, raisonnable et applicable qu’il faut considéré dans notre approche de sortie de la Transition est celle que le Secrétaire Général des Nations Unies a dit au premier ministre de la Transition à New York. Faire votre mieux pour coopérer avec la CEDEAO et demander à tous les acteurs guinéens de se joindre au dialogue initié par le gouvernement. Cette dernière position du Secrétaire général est en parfaite ligne avec la position officielle du médiateur de la CEDEAO Thomas Yayi Boni. Une position qui est celle de l’écoute et de la concertation que nous prônons », a-t-il lancé au micro de mosaiqueguinee.com
Hadjiratou Bah