Dans une déclaration rendue publique ce mercredi, 21 février 2018 par le Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée (SLECG), à son siège à Dixinn, son secrétaire général a ouvertement insisté sur le maintien de la grève.
Le très controversé Aboubacar Soumah a soutenu avec insistance devant le bureau exécutif et les médias que « la grève continue jusqu’à la satisfaction générale de l’ensemble de nos trois points de revendication », a-t-il indiqué.
Parmi ces trois points, les deux qui suivent : la levée de la sanction d’Aboubacar Soumah avec effet rétroactif et le paiement des 40% de la valeur monétaire du point d’indice avec effet rétroactif à partir du mois de novembre seraient non négociables, nous confie un membre influent de la cellule de communication du SLECG, version Aboubacar Soumah.
À cette allure, la Guinée risquerait de connaître une année blanche.
Affaire à suivre.
Alhassane Fofana