Déclenché le 03 octobre dernier, le mot d’ordre grève lancé par le SLECG, qui réclame un salaire de base de 8 millions pour les enseignants, est largement suivi dans la préfecture de BOFFA.
L’appel lancé par les autorités à l’endroit des parents d’élèves, de laisser leurs enfants reprendre le chemin de l’école, ne semble toujours pas tomber dans de bonnes oreilles.
Conséquence, les salles de classe restent toujours vides. Elèves, et enseignants continuant de briller par leur absence dans les salles de classes.
Seuls les responsables d’établissement viennent dans les bureaux pour assurer un service minimum.
Cependant, les élèves du privé de la place, continuent pour leur part d’étudier.
A ce rythme où vont cette épreuve de force engagée entre le SLECG et le gouvernement, qu’en sera-t-il de l’année scolaire qui débute ? C’est toute la question !
FODE MAKINSY SOUMAH