Le mot d’ordre de cessation de service minimum, tel qu’annoncé par l’inter-centrale syndicale CNTG-USTG, n’a pas été suivi d’effet dans la préfecture de Fria.
L’usine d’alumine de Friguia, a depuis sa relance, le 20 juin dernier, normalement fumé et les travailleurs dans tous les départements de la boîte, étaient à la tâche.
Les banques et assurances, ont, elles aussi, fait la sourde oreille à l’appel des syndicalistes.
La cessation de tout service minimum, n’a pas été respecté, comme c’est le cas dans certaines autres villes du pays.
ECOBANK, la BICIGUI et l’ORABANK, ont fonctionné comme à l’accoutumée.
L’administration, a convenablement tourné. C’est le cas dans les différents hôpitaux notamment à Pechiney et à l’hôpital préfectoral.
Les deux grandes structures sanitaires de la ville, ont dispensé les soins aux patients et ouvert leurs portes aux citoyens, contrairement aux ordres de leurs syndicats.
Nous y reviendrons
De Fria, Abdoulaye GV pour Mosaiqueguinee.com