Il y a maintenant près de trois mois qu’il préside aux destinées de la SOGUIPAH et depuis ce temps, les problèmes s’accumulent et deviennent de plus en plus préoccupants.
Ce qui veut dire que les premiers pas de Michel Beimy, car c’est bien de lui qu’il s’agit, sont les plus haletants, donc les moins rassurants pour parier sur un avenir certain de cette société dont l’évocation du nom concentre des souvenirs de longévité inédite, quelles que soient les péripéties traversées, d’un établissement public, gros pourvoyeur d’emplois.
Tenez-vous bien, on apprend auprès de nos sources bien introduites, que depuis la nomination de ce nouveau directeur, peut être parlera-t-on d’une mauvaise coïncidence, mais depuis bien sa nomination, les choses ne semblent pas se passer normalement dans cette société.
Les salaires ne sont plus payés régulièrement (un sur trois mois d’arriérés de salaires impayés), les frais de location de l’immeuble qui abrite la société, ne sont pas aussi payés depuis très longtemps au point qu’une menace d’expulsion plane au-dessus des occupants.
Pire, on reproche à l’ancien directeur national adjoint des impôts, propulsé au poste de directeur général de la société, pour des raisons jugées, d’équilibre ethnique et de positionnement politique dans la région forestière, un principe que s’impose le président de la république dans sa gestion du pays, on reproche à ce nouveau directeur, des nominations par affinité, ne tenant pas compte de la qualité des personnes à nommer pour des postes à pourvoir.
La nomination tout récemment de l’ancien contrôleur de gestion, un parent au chef comme on le dit dans les couloirs, au poste très technique de Directeur technique industriel, est l’illustration, dit-on la plus parfaite, de l’affinité dans les choix, aujourd’hui dénoncée par la majorité des travailleurs.
A précise que nos tentatives pour recouper toutes ces informations auprès du nouveau directeur de SOGUIPAH, qui est resté malheureusement injoignable et inaccessible comme d’habitude, ont été infructueuses.
Désormais, des regards inquisiteurs sont braqués sur cette société, qui connait une nouvelle gouvernance, loin de tout reproche.
Mohamed
C’est vraiment grave de la part d’un site d’information comme le vôtre de se mettre dans une telle posture en diffusant des informations erronées. L’éthique voudrait que les informations soient vérifiées avant d’être publiées.