L’information fait la une des médias. Après Foniké Menguê, c’est au tour de Sékou Koundouno d’être privé de sa liberté. L’affaire suscite une vive réaction au sein des organisations de la société civile.
Dansa Kourouma, le président du conseil national des organisations de la société civile guinéenne, estime qu’il s’agit d’un acte qui implique un sens de la justice à géométrie variable, tout seulement dicté par les circonstances, le hic et nunc, et qui résulte d’une inégalité de traitement.
« Ignorer des t-shirts pour et interdire des t-shirts contre : c’est du deux poids deux mesures », dénonce-t-il sur sa page Facebook.
L’activiste invite les autorités guinéennes, à mettre fin à ce qu’il considère comme une entrave à la liberté d’opinion.
« Libérez Oumar Foniké Menguê Sylla au nom de la liberté d’opinion », a-t-il lancé.
Mohamed Bangoura