L’occupation anarchique des emprises publiques, est devenue de nos jours, un sujet casse-tête pour les autorités municipales de Fria.
Partout dans la ville, des occupants encombrants imposent leur loi, le long des principales artères publiques.
Des conteneurs, kiosques, bars, baraques et étals de fortune sortent de terre comme des champignons.
Interpellé sur la question par de nombreux citoyens, le maire de la commune urbaine dit constater les faits.
Il envisage de nouvelles mesures afin de débarrasser la commune urbaine de ses encombrants physiques.
« Nous avons constaté de visu ces occupations anarchiques qui renvoient une vilaine image de la ville. Nous avions également été saisis par la société Rusal-Friguia pour que des mesures soient prises. C’est de notre responsabilité en tant que commune urbaine. Nous avions déjà formulé plusieurs avertissements à l’encontre des occupants illégaux. Le dernier, c’était au mois d’avril. Ces avertissements visiblement ne semblent pas tombés dans de bonnes oreilles. C’est pourquoi, nous allons faire passer des communiqués radios pour sensibiliser les plus réticents et leur donner un délai de trois jours. Passer ce délai, nous allons mettre en branle la police municipale et la gendarmerie nationale, pour faire libérer les emprises publiques », annonce, le shérif de la ville de Fria.
À côté de l’occupation illégale et désordonnée des artères de la commune urbaine, s’ajoute l’épineuse problématique de l’insalubrité qui reste véritablement un autre sujet de préoccupation majeure en cette période de grandes pluies.
De Fria, Camus Junior