De l’entendement d’Etienne Soropogui, il sera difficile voire très difficile de continuer le combat qu’il mène au sein du FNDC avec les partis politiques qui ont déposé leurs dossiers de candidature pour participer aux législatives du 16 février alors qu’ils s’étaient engager à quitter le processus électoral.
L’ancien commissaire de la CENI déclare qu’il ne veut surtout pas « commenter ce genre d’attitudes parce qu’elle est aux antipodes des valeurs auxquelles il croit ».
Le leader du mouvement ‘’Nos valeurs communes’’ prévient qu’il « appartiendra à l’opposition le moment venu de tirer les conséquences liées à de tels comportements ».
« La décision de l’opposition politique qui a consisté à sortir du processus a été une décision concertée. Nous avons pris soin de nous assurer que toutes les composantes de l’opposition politique membres du FNDC soient associées à la prise de cette décision importante. On peut donc en déduire que la décision prise est une décision collective qui nous engage tous. Alors, moi je ne peux pas comprendre que des grandes personnes prennent le temps de se concerter et qu’à l’issue de leur concertation, ils tirent des conclusions, que certains parmi eux se cachent et partent faire le contraire de ce sur lequel ils se accordés. Permettez-moi de ne pas commenter ce genre d’attitudes parce qu’elle est aux antipodes des valeurs auxquelles je crois. Je crois qu’il appartiendra à l’opposition le moment venu de tirer les conséquences liées à de tels comportements. Mais je puis d’ores et déjà vous dire qu’il sera désormais difficile de continuer à travailler avec ceux qui ont posé ces actes en faisant comme si de rien n’était », a-t-il alerté ce vendredi.
Mohamed Bangoura