Selon le président de l’OGDH, la déclaration du ministère de la sécurité justifiant la mort du jeune Mamadou Moussa dans la nuit du mardi 28 janvier 2020, à Bantouka II, commune de Ratoma, par le fait que ce dernier serait un bandit, n’avait pas lieu d’être
« Ce n’est pas le fait de dire que c’est un bandit qui pose problème, mais dans quelle condition il est décédé ? En principe, si c’est un bandit, il devait être mis aux arrêts mais il ne peut être tué. Fut- il bandit, il a le droit à la vie, c’est constitutionnel et fondamental donc cet argument ne passe pas, les autorités de la police n’ont pas intérêt à justifier le cas par le fait que c’est un bandit », a déploré Abdoul Gadiry Diallo, lors d’un entretien avec un reporter de mosaiqueguinee.com, ce mercredi 29 janvier.
Hadjiratou Bah