Depuis l’annonce d’une possible falsification de la constitution du 22 mars, celle-là même dont l’adoption a entrainé des pertes en vies humaines suite aux manifestations de protestations organisées par le FNDC, les opposants à l’origine de cette situation, sont étonnamment sans retenue.
Les contestataires, comme à leurs habitudes, à travers différents canaux de communication, dans des termes assez caustiques, ont à cet effet, lardé le pouvoir de critiques très acerbes.
Et pourtant, il faut nécessairement le rappeler, que depuis tout le temps, ces opposants s’étaient interdit de parler de la nouvelle constitution. Pas seulement !
Ils n’étaient pas aussi tendres avec ceux qui en parlaient, au besoin d’une dialectique politico-médiatique.
C’était donc clair que le débat, quelle que soit sa nature, à propos de la nouvelle constitution, ne les intéressait ni ne concernait guère.
C’est dire combien de fois, leurs réactions au sujet d’une prétendue falsification de la nouvelle constitution, aussi surprenantes que politiquement incorrectes, sonnent comme une forme de reconnaissance tacite du nouveau texte fondamental ou le reniement d’un combat qui a fait des victimes innocentes.
Sadikou