La falsification de la nouvelle constitution continue de nourrir des inquiétudes malgré la dernière sortie médiatique du ministre de la justice, à propos, il y a quelques semaines.
A rappeler, qu’à cette occasion, Mamadou Fofana, du bout des lèvres, dans des termes trop laconiques, a tenté de rassurer sur l’authenticité du texte de la nouvelle constitution.
Les députés à l’assemblée nationale n’en sont pas convaincus. Ils attendent l’arbitrage de la cour constitutionnelle, qui n’arrive toujours pas.
En attendant, ils ont décidé de mettre sous veilleuse l’examen de certains projets de lois importants. Il s’agit principalement du code électoral.
La question qui taraude les esprits est celle de savoir, entre la constitution votée par le CNT et celle du 22 mars, votée au forceps, à l’issue d’un referendum contesté, laquelle de ces deux constitutions, est en vigueur en moment dans le pays ?
La question vaut tout son pesant d’or dans le contexte actuel.
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