Du berger à la bergère! Le camp de Badra Koné ne s’est pas fait longtemps, pour réagir à une sortie pour le moins musclée du conseil national de la jeunesse de l’UFR, contre le désormais ex secrétaire national de la jeunesse de l’UFR, au lendemain de sa démission.
En réaction, le mouvement en gestation et dont Badra Koné devrait prendre la tête, dans une déclaration dont copie a été transmise à notre rédaction, rappelle à qui veut l’entendre que le deuxième vice-maire de Matam est loin d’être ingrat ou hypocrite.
Ci-dessous, l’intégralité de cette Déclaration :
Déclaration du camp de Badra Koné
Chers amis et frères du CNJ-UFR, nous comprenons la pression exercée sur quelques-uns d’entre vous pour attaquer Badra Koné ou l’accuser de manque de leadership à conduire la jeunesse de l’UFR, ces dernières années.
Chers amis jeunes du CNJ-UFR,
Monsieur Badra Koné est loin d’être un ingrat ou hypocrite comme certains du BEN-UFR le sont. Il vous restera éternellement reconnaissant pour avoir tous unanimement démarché, plaidé et voté pour qu’il rejoigne l’UFR et en être le premier responsable de la jeunesse du parti, parce qu’il en avait les capacités et le leadership. D’ailleurs avec une réputation qui le précédait sur la qualité de son leadership certifié même par ses adversaires.
Toutes les instances de règlement des conflits internes du parti étaient épuisées jusqu’au premier responsable du parti, qui ont promis en vain de régler mais hélas. Heureusement, que les conflits dont ils étaient questions n’ont jamais éclaté entre Badra Koné et un seul membre du CNJ-UFR, qu’il avait la charge de diriger, mais plutôt entre Badra Kone et les opportunistes du BEN- UFR »
Chers amis jeunes,
Badra Koné compte garder son amitié avec chacun de vous, tout en vous rappelant la loi de l’équilibre : « considère ton meilleur ami du moment comme ton pire ennemi de demain et ton pire ennemi du moment comme ton meilleur ami de demain »
L’avenir nous appartient !
Transmis par Aïcha Conté, chargée de la cellule de communication du camp de Badra Koné