Le procès des travailleurs de la SOGUIPAH s’est ouvert ce mercredi au tribunal de première instance de N’Zérékoré.
Au total, 21 personnes sont poursuivies par la société représentée par son directeur général Michel Beymi pour injures publiques, menace, troubles à l’ordre public suivi de participation à un attroupement non armé.
Alors qu’ils tentaient de manifester le week-end dernier pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail, ces travailleurs ont été arrêtés au petit matin par les forces de l’ordre dans la sous-préfecture de Diécké avant d’être conduit à la gendarmerie mobile de N’zérékoré où ils ont été entendus et conduits directement en détention.
Nous y reviendrons !
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