Accusé d’être l’instigateur des mouvements de contestation au sein de l’ancien parti au pouvoir, Malick Sankhon a balayé d’un revers de la main ses « allégations ».
Depuis la France, l’ancien directeur général de la caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), a dit ne pas être mêlé à ses agissements, dont on lui attribue à travers un audio distillé dans la presse.
Malick Sankhon accuse plutôt d’autres caciques du régime déchu, qu’il n’a pas cité.
« Ce n’est pas moi, ce n’est pas vrai (…). Ibrahima Kalil Konaté et moi, nous n’avons pas parlé hier matin (jeudi). C’est un élément infiltré. Ce qui s’est passé au siège hier jeudi, ce sont ceux-là qui ont voulu prendre le pouvoir par la force qui ont infiltré les gens (…). Mais, ce que je demande à tout le monde au sein du parti c’est de se calmer et accepter d’aller au congrès », a-t-il souligné dans l’émission « Mirador », de nos confrères de FIM FM.
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