Interpelé Mani militari aux environs de Dixinn terrasse, alors qu’il cherchait à rallier son domicile, le secrétaire général du SPPG, en détention préventive depuis le 19 janvier dernier, comparaît pour la troisième consécutives devant le juge d’instruction du tribunal de première instance de Dixinn, ce lundi 05 février.
Son seul crime, c’est d’avoir combattu les inégalités dont victimes les journalistes sous le CNRD. Notamment la restriction de l’internet et le musèlement de la presse.
Lors de sa première comparution, Sékou Jamal Pendessa a été inculpé pour des faits présumés de participation à une manifestation non autorisée et de diffusion des données de nature à troubler l’ordre public, et placé sous mandat de dépôt où il croupit depuis deux semaines.
Cette troisième audition se tient loin des caméras et des dictaphones de ses confrères journalistes, dans le bureau du juge d’instruction. Sékou Jamal Pendessa est accompagné de son avocat Me Salifou Béavogui.
Derrière la cour, il faut noter la forte présence des hommes de médias, venus lui témoigner leur solidarité.
A suivre…
Alhassane Fofana